La ville est le support et le cadre des civilisations, et l’être humain n’a jamais cessé la poursuite du rêve  de bâtir une ville parfaite, une ville heureuse :  une quête  d’absolu restée inaccessibleNotre approche est l’identification et  l'élimination progressive  des maladies détectables de la ville Sur la base des enquêtes menées dans les villes de tous les continents au cours des dernières décennies, nous diagnostiquons les maladies urbaines existantes de chacune de nos interventions à travers la recherche, l'observation, l’écoute patiente, la communication et des entretiens sur les villes cibles, pour les intégrer dans l’étape  suivante de conception.

Nous initions de nouvaux modes de vie

Les moments mémorables de l’existence proviennent  pour la plupart de la satisfaction de besoins humainsessentiels très évidents , et la valeur des espaces qui les abritent résident en la compréhension de cet axiome simple. Une conception inapropriée  de l'espace dissuade l'émergence  des scènes-clés de nos viess, tandis qu'une conception réussie favorise  les  vies  épanouies et innovantes . Par notre maîtrise de la forme spatiale et l'analyse des usages de la ville et du projet, nous programmons et créons les lieux capables de favoriser l’émergence de  scénarios de vie innovants.

Nous réconcilions l’économie et la culture de la ville

Avecl’apparition du Mouvement moderne, l'architecture et la ville, en tant que formes d’expression immatérielle de civilisation et de société,  ont vu leurscaractère artistiques et culturels progressivement dépassés par les impératifs économiques et techniques, au point d’être niés  jusqu’à disparaître. Nous ne pensons pas que ces deux forces soient antinomiques, mais qu’au contraire le travail  du concepteur est d’ apréhender leur contradiction pour en obtenir une vérité construite féconde , et   prouver que chaque îlot, chaque bâtiment, chaque lieu,  peut être le support d’une conception de haute qualité capable de répondre  autant aux caractéristiques économiques, environnementales et sociales, qu’aux attentes plastiques et culturelles. Ce n'est qu'ainsi que l'usager pourra véritablement établir un sentiment d'appartenance à l'espace urbain, au lieu den’y  voir qu’une  forêt de béton sans âme.